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| La beauté de la Plage de Rodrigues |
L’île Maurice n’est qu’une variation sur les thèmes de l’eau, du sable et de la lumière.
Il s’est jadis forgé une réputation de destination de stars plus que de routards. Et pourtant, les autorités ont beau s’efforcer de privilégier l’implantation de complexes opulents, ce n’est pas une destination de luxe! On peut facilement s’en tirer à bon compte.
Nulle galère ni embrouille à l’île Maurice, cette île facile et confortable où tout ou presque se passe sur la côte. On se laisse aller, au rythme des vaguelettes. Le lagon est à température constante, tout comme la population, rieuse et amicale. À Maurice, on retrouve vite son bout de sable devant son bout de lagon. Plus que les choses, les gens sont à découvrir. La halte farniente de l’océan Indien a trouvé sa définition : paix et repos.
L’île Rodrigues, la Cendrillon des Mascareignes, ridée comme les tortues qui la peuplaient, joua longtemps la belle délaissée. Aujourd’hui, les habitants de l’île Rodrigues demeurent toujours aussi éloignés de l’agitation de Port-Louis. Les Mauriciens eux-mêmes connaissent mal cette dépendance, aussi lointaine géographiquement que culturellement. Ignorée par sa grande sœur, l’île Rodrigues conserva ses coutumes. Même si les Rodriguais tiennent à conserver leurs traditions, le développement touristique et économique commence à changer les mentalités. Sans prétendre à la luxuriance ou à la beauté des plages de ses sœurs de l’océan Indien, Rodrigues possède le charme que celles-ci ont parfois perdu.
Il s’est jadis forgé une réputation de destination de stars plus que de routards. Et pourtant, les autorités ont beau s’efforcer de privilégier l’implantation de complexes opulents, ce n’est pas une destination de luxe! On peut facilement s’en tirer à bon compte.
Nulle galère ni embrouille à l’île Maurice, cette île facile et confortable où tout ou presque se passe sur la côte. On se laisse aller, au rythme des vaguelettes. Le lagon est à température constante, tout comme la population, rieuse et amicale. À Maurice, on retrouve vite son bout de sable devant son bout de lagon. Plus que les choses, les gens sont à découvrir. La halte farniente de l’océan Indien a trouvé sa définition : paix et repos.
L’île Rodrigues, la Cendrillon des Mascareignes, ridée comme les tortues qui la peuplaient, joua longtemps la belle délaissée. Aujourd’hui, les habitants de l’île Rodrigues demeurent toujours aussi éloignés de l’agitation de Port-Louis. Les Mauriciens eux-mêmes connaissent mal cette dépendance, aussi lointaine géographiquement que culturellement. Ignorée par sa grande sœur, l’île Rodrigues conserva ses coutumes. Même si les Rodriguais tiennent à conserver leurs traditions, le développement touristique et économique commence à changer les mentalités. Sans prétendre à la luxuriance ou à la beauté des plages de ses sœurs de l’océan Indien, Rodrigues possède le charme que celles-ci ont parfois perdu.
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