L'église Notre-Dame-des-Laves Sainte Rose |
Sainte Rose est la première zone civilisée du Sud Est que vous rencontrerez après avoir traversé la zone du grand Brûlé. Cette petite commune est également, à l’instar de Saint Joseph qui est l’endroit le plus septentrional de la France et même de l’Europe, Sainte Rose est le point le plus oriental. Outre ces considérations d’ordre géographique, Sainte Rose est avant tout une petite commune au charme indéniable, mélangeant traditions et sites touristiques. Son port de pêche est l’un des plus appréciés de l’île. Au pied du volcan coléreux, Sainte Rose est un mélange d’océan rageur, de pierre basaltique et de végétation luxuriante.
C’est Jacob de la Haye, gouverneur de l’époque, qui accoste sur ce territoire en 1671 accompagné de Monsieur Caron. L’endroit prend alors tout naturellement le nom de « Port Caron ». Quelques années plus tard, La Rose y construit un véritable débarcadère, et alors l’endroit prend le nom de « Quai La Rose ». Les premières concessions, suite au développement fulgurant de la zone Est, sont données en 1727. Quai la Rose est alors un quartier rattaché à Sainte Suzanne, mais en 1733, à la création de la commune de Saint Benoit, on rattache à cette dernière ce quartier portuaire de la côte Est. Ce n’est plus tard qu’en 1790 que la commune deviendra indépendante et optera pour le nom de Sainte Rose.
Lors du débarquement des anglais sur l’île en 1809, ceux-ci essuyèrent leur unique défaite à Sainte Rose qui su repousser les envahisseurs.
L’autre moitié du XVIIIème siècle sera marquée par l’arrivée de la culture de la canne qui supplantera celle prédominante jusqu’alors du café. Mais la commune reste très à l’écart du reste de la zone Est, notamment dû au fait de la largeur de la Rivière de l’Est .Lorsqu’en 1894, l’actuel pont suspendu en fer est inauguré, la commune sort alors de son enclavement et va prospérer modestement, grâce à ses quatre usines sucrières, jusqu’en 1962, année de leurs fermetures, au profit de celles plus grandes de Saint Benoit ou Saint André.
Lors du débarquement des anglais sur l’île en 1809, ceux-ci essuyèrent leur unique défaite à Sainte Rose qui su repousser les envahisseurs.
L’autre moitié du XVIIIème siècle sera marquée par l’arrivée de la culture de la canne qui supplantera celle prédominante jusqu’alors du café. Mais la commune reste très à l’écart du reste de la zone Est, notamment dû au fait de la largeur de la Rivière de l’Est .Lorsqu’en 1894, l’actuel pont suspendu en fer est inauguré, la commune sort alors de son enclavement et va prospérer modestement, grâce à ses quatre usines sucrières, jusqu’en 1962, année de leurs fermetures, au profit de celles plus grandes de Saint Benoit ou Saint André.
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